Histoire de l’art: Claude Monet


Cet article sera dédié au célèbre artiste français Claude MONET. Je vous ai déjà parlés de Renoir, ou Botticelli. Que vous pouvez lire ci-dessus, si ce n’est pas faits. 

Ce peintre aussi précoce que talentueux. À l’âge de 16 ans, il expose à Rouen. 

Née à Paris en 1840, il passe sa jeunesse au Havre. Ses dessins d’adolescent trouvent déjà acheteur. 
Sa rencontre avec le peintre Eugène BOUDIN, en 1856, est décisive pour sa vocation: son aînée lui apprend la technique de l’huile sur toile et surtout la peinture en pleine air, honni par l’académisme de l’époque. 

Contre la volonté de son père, la tante de Monet, qui peint elle aussi, décide de lui verser une pension. Grâce à elle, il part étudier à Paris. 

À l’académie Suisse, où il entre en 1859. Il rencontre beaucoup d’autres artistes notamment Camille Pissarro, Edgar Degas, Auguste Renoir…


Monet triomphe au Salon de 1866 avec un paysage, et Femme à la robe verte. 

La première exposition de tableaux de paysage novateur pour l’époque se tient chez le photographe Nadar, en 1874. Momet s’intéressent aux ville moderne, comme Paris, qui est une ville dynamic, et contemporaine. 
 Le public est la critique brocardent les tableaux de ceux qui s’appellent désormais les impressionnistes. Une nouvelle vente est organisée l’année suivante avec des oeuvres de Monet, Renoir, de Sisley, et de Morisot. La recette est faible, mais un petit cercle d’amateur commence à se former. 

Au fil des expositions, le succès arrive. Le peintre vit désormais dans l’aisance. Fortuné, Monet s’installe sa maison et son jardin à son goût. Son jardin lui-même est composé comme un tableau…Il peint tout les jours. 

En le 5 décembre 1926, il meurt. 


Tableaux
Le Femme À La Robe Verte, 1866

Première compagne de Monet, Camille-Léonie Doncieux partage avec lui le temps bohème, et du pain sec. Opposeé à cette liaison la famille du peintre, l’incite à abandonner la jeune femme, mais celui ci refuse. 



La gare Saint-Lazare, 1877


Monet se lance dans des études de Paris noyé dans le brouillard hivernal, mais il trouve plus intéressants que le brouillard, il y a la fumée, celle que crachent les locomotives de la gare Saint-Lazare. Il joue avec les effets du paysage, par exemple,le toit remplace le ciel.


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